À une époque où les problèmes de santé publique (obésité, dépression, asthme, diabète…) sont de plus en plus prégnants, EpaMarne et la Ville de Bussy Saint-Georges attachent une très grande importance à la santé et au bien-être des habitants de leur territoire.

Avec l’Agence régionale de santé (ARS) et l’Union régionale des professionnels de santé-Médecins libéraux (URPS-ML), EpaMarne et la Ville de Bussy Saint-Georges ont signé une convention pour la réalisation d’un diagnostic portant sur l’accès aux soins. L’objectif est de trouver des solutions concrètes pour le maintien et l’installation de médecins libéraux sur le territoire.

© EpaMarne / photo : Antoine Meyssonnier

 

Guérir, mais aussi prévenir

Les équipements prévus dans les nouveaux quartiers traduisent cette volonté de faire de la santé des habitants une priorité : le pôle santé du Sycomore comprendra par exemple un EHPAD, un établissement de soins de suite et de réadaptation et un pôle médical. En parallèle, EpaMarne et la Ville de Bussy Saint-Georges s’engagent dans une démarche très innovante en faveur d’un urbanisme favorable à la santé.

 

Faire rimer sain et urbain

De même qu’ils sont attentifs à l’empreinte carbone des quartiers qu’ils réalisent, ils entendent limiter les impacts de la ville sur la santé. La place du végétal, le choix des essences ou encore la possibilité de vivre au rythme des saisons répondent à cette exigence. Il en est de même avec le concept de quartier « courtes distances », qui encourage les déplacements à pied et à vélo, ou encore les installations sportives dans l’espace public et l’accès à une alimentation saine.

 

© EpaMarne / Paysagiste : Florence Mercier / photo : Antoine Meyssonnier

EpaMarne et la ville de Bussy Saint-Georges s’engagent dans une démarche très innovante en faveur d’un urbanisme favorable à la santé.

 

© EpaMarne / Paysagiste J. Osty / photo : Antoine Meyssonnier

 

 

Limiter les pollutions

Ces intentions se retrouvent dans le projet d’aménagement de l’entrée de ville : anticiper les cheminements doux et orienter les trajets vers des voies à moindre trafic pour réduire l’exposition aux nuisances et à la pollution, prévoir des barrières acoustiques et environnementales pour se protéger des incidences du trafic routier, intégrer le confort climatique aux réflexions sur l’agencement paysager ou encore choisir les végétaux à planter en fonction de leur capacité d’absorption des pollutions.

 

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